kanthaniste
Comme un pianiste utilise un piano pour composer de la belle musique, Mieko utilise Kantha pour composer de beaux vêtements.

Mieko Mintz : la kanthaniste
Mieko Mintz est née sur l'île de Kyushu, au sud du Japon, et a étudié la mode à Tokyo. Après douze ans de travail là-bas en tant que créatrice de mode, elle est venue aux États-Unis pour étudier l'anglais et le destin l'a retenue ici depuis.
Après plusieurs années de travail à domicile, elle a ouvert son premier magasin sur Grove Street dans la section West Village du Lower Manhattan, à New York. C'était en août 1999. Cinq ans plus tard, elle a déménagé dans une belle vitrine sur Thompson Street à Soho.
En 2009, Mieko a commencé à vendre en gros. En 2014, l'opération a été déplacée vers un espace plus grand sur Vandam Street, également à Soho. C'est devenu le siège de la distribution en gros de vêtements MM à l'échelle mondiale.
Présentation de la création
Elle crée une ligne sophistiquée et contemporaine en utilisant des tissus ethniques et des mailles variées, sans jamais oublier le confort. (en se concentrant sur le confort).
Le travail de Mieko s'inscrit dans la tradition Kantha ; d'abord, ses créations sont transformées en Kantha Throws au Bengale occidental, puis sont coupées pour s'adapter à ses créations de vestes inspirées de sa tradition avec la culture japonaise du kimono. Ses vêtements sont traités, ce qui donne une ligne de vêtements particulièrement douce au toucher.
Elle se concentre sur une ligne Kantha non seulement confortable, mais contemporaine et sophistiquée. Elle trouve la romance dans la réincarnation des saris dans le nouveau Kantha : de vieux saris revenant à la vie dans un temps et un pays totalement différents. Et son intégration à la tradition du kimono fait entrer le vêtement dans un nouveau domaine de pertinence internationale.
Dans un souci de durabilité, les chutes de coupes issues de la fabrication des vestes sont recyclées une fois de plus pour créer des chapeaux, des sacs et des bijoux.

Notre promesse
Après avoir travaillé avec les femmes du Bengale, Mieko espère que leur tradition se poursuivra plus longtemps ; 100 ans dans le futur et au-delà, pour la vie du Kantha. Mieko travaille à la création d'une fondation pour promouvoir la continuation de la culture Kantha et la maintenir en vie. Ces plans incluent un musée pour présenter le Kantha comme une forme d'art, pas seulement comme un matériau utilisé pour sa valeur commerciale.
